Les habitants des Bas-pays ont appris dans le Parisien d'hier que leur quartier avait changé de nom. Il devient le quartier de l'Horloge, en référence à la gigantesque pendule qui orne encore l'entrée des anciennes écuries des laboratoires Roussel. Madame le maire estime que "ce nom a davantage de sens pour le quartier que celui de Bas-pays. Il rappelle l'histoire de la ville."
Du sens pour le quartier mais pour les habitants qu'en est-il? les a-t-on sollicité?
Va t-on rebaptisé le quartier du centre ville, le quartier de la tour télé, le quartier des Trois communes, quartier du Chateau d'eau ...
Si les laboratoires Roussel font partie de l'identité du quartier, la coupure géographique du quartier avec le plateau de Romainville, les anciennes carrières caractérisent ce quartier.
Il est passé le temps ou la plupart des habitants du quartier travaillaient chez Roussel-Uclaf. Dorénavant beaucoup des salariés d'Aventis et de Biocitech ne connaissent de Romainville que la station de métro "Bobigny-Raymond Queneau".
Pour ceux qui y demeure, le quartier est les Bas-pays notamment pour rappeler à la Municipalité les obligations auxquelles la géographie la contraint en terme de mobilité urbaine, d'accès aux services publics, de loisirs.
Pour la plupart le quartier demeura les Bas-pays, n'en déplaise aux promoteurs
Du sens pour le quartier mais pour les habitants qu'en est-il? les a-t-on sollicité?
Va t-on rebaptisé le quartier du centre ville, le quartier de la tour télé, le quartier des Trois communes, quartier du Chateau d'eau ...
Si les laboratoires Roussel font partie de l'identité du quartier, la coupure géographique du quartier avec le plateau de Romainville, les anciennes carrières caractérisent ce quartier.
Il est passé le temps ou la plupart des habitants du quartier travaillaient chez Roussel-Uclaf. Dorénavant beaucoup des salariés d'Aventis et de Biocitech ne connaissent de Romainville que la station de métro "Bobigny-Raymond Queneau".
Pour ceux qui y demeure, le quartier est les Bas-pays notamment pour rappeler à la Municipalité les obligations auxquelles la géographie la contraint en terme de mobilité urbaine, d'accès aux services publics, de loisirs.
Pour la plupart le quartier demeura les Bas-pays, n'en déplaise aux promoteurs
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